Par Gilles DUTHIL
Président de l'Institut SilverLife

Charges de famille 1

« Les familles, l’État, les collectivités locales, les établissements publics, les organismes de sécurité sociale, les associations, les groupements, organismes et entreprises publics et privés associent leurs interventions pour mettre en œuvre cette obligation en vue notamment d’assurer aux personnes handicapées toute l’autonomie dont elles sont capables ».

Dès son article premier, la loi sur le handicap du 30 juin 1975 donne la première place aux familles dans l’organisation de la prise en charge, en complémentarité avec les autres acteurs.

Longtemps, le sujet de l’aide familiale aux personnes âgées dépendantes a été occulté dans le débat public car il représentait une certaine gêne. De la part des organisations professionnelles (villes, centres d’action sociale, associations…) qui, intervenant historiquement dans les cas de détresse familiale, avaient une vision en négatif de la famille (absente ou négligente). De la part des Pouvoirs Publics qui ambitionnaient eux aussi (sans en avoir les moyens) de se substituer à la famille pour organiser la prise en charge.

Lorsqu’est survenue la catastrophe de la canicule de l’été 2003, sont apparues les limites d’un système consistant à organiser la prise en charge des personnes âgées dépendantes prioritairement autour des professionnels ou établissements spécialisés, et de la question du financement de ces services par la collectivité.

Des travaux sur la question du rôle des aidants ont été menés par les universitaires ou le Commissariat Général au Plan après 2003.

Le Plan de Solidarité Grand Age en juin 2006 leur a fait une place mais en les considérant, à l’instar des personnes aidées, comme des personnes fragilisées (en « situation de tension, d’isolement et de fatigue »), devant être « mieux soutenues ». L’accent est notamment mis sur les problèmes de santé qu’ils rencontrent.

Or, une autre approche des aidants est souhaitable. Celle consistant à reconnaître leur rôle actif majeur dans la prise en charge des personnes âgées dépendantes.

Une première manière d’accorder une valeur à leur engagement au quotidien serait de les intégrer dans les plans d’aide à la personne âgée dépendante, tout au moins de le nommer. Pourraient être ainsi précisées les tâches réalisées, le temps qui y est consacré mais aussi les compétences mobilisées voire les attentes en matière d’encadrement.

Plus généralement, l’engagement de ces aidants pourrait déboucher sur une reconnaissance de droits au regard de la protection sociale. Des aménagements de temps de travail pourraient être accordés par les employeurs dans le sens d’un meilleur équilibre entre vie privée et vie professionnelle.

Vu la place des aidants dans la réalité du quotidien des personnes âgées dépendantes 2, un statut pourrait leur être garanti par les Pouvoirs Publics (cf. revendications portées par l’Institut et un certain nombre d’organisations partenaires).

Beaucoup d’autres pays européens l’ont déjà fait, la France doit profiter de la future loi d’orientation sur la dépendance pour rattraper le retard.

Comme l’indiquait le Président de la République devant le CESE (Conseil Economique, Social et Environnemental) le 8 février dernier, « la société est là pour accompagner les familles, les soutenir, les aider, les soulager, pas pour les remplacer ». Encore faut-il que, comme pour les professionnels, la société reconnaisse aux familles impliquées dans l’accompagnement d’une personne âgée dépendante un statut à la mesure de leur utilité, de leur nécessité !

 

1 Titre emprunté à l’ouvrage de Weber Florence, Gojard Séverine, Gramain Agnès, 2003. Charges de famille. Dépendance et parenté dans la France contemporaine, La Découverte, « Textes à l’appui, Enquêtes de terrain », Paris, 420 p.
2 Selon les études du LEGOS Université Paris Dauphine, l’aide apportée par la famille est 2 à 5 fois plus importante que celle apportée par les professionnels.


Pour rappel : revendications concernant le statut des aidants

1

Reconnaître dans le plan d’aide l’intervention des aidants familiaux et plus généralement des aidants non professionnels.

2

Créer une compensation financière minimale (et non une rémunération) pour les aidants familiaux sur la base de 600 € nets par mois pour un aidant mobilisé à temps plein pour un GIR 1 et 2 ou Alzheimer, et 390 € pour une personne ayant conservé un emploi à temps partiel.

3

Inciter les entreprises à proposer aux salariés en situation d’aidants des assouplissements d’horaires, des formules de télétravail et des programmes de soutien.

4

Assouplir les conditions d’accès au congé pour solidarité familiale de manière à pouvoir l’utiliser de façon fractionnée en cas de soutien à une personne dépendante (et non pas forcément en une seule fois, au moment de la fin de vie).

5

Reconnaître la période de congés pour solidarité familiale dans la période de cotisation dans le système de retraite (comme pour la période de service national ou congé maternité/paternité).

6

Inciter les entreprises à proposer aux salariés en situation d’aidants des assouplissements d’horaires, des formules de télétravail et des programmes de soutien.

7

Développer l’engagement des jeunes auprès des personnes âgées dépendantes dans le cadre du Service Civique.

8

Prévoir par prélèvement sur les cotisations de la 5ème branche de protection sociale un fonds pour l’information et la formation des aidants familiaux (géré par la FEPEM en lien avec les associations spécialisées France Alzheimer, France Parkinson…). Droit individuel à 2 jours de formation pour l’aidant d’une personne GIR 1 et 2 ou Alzheimer.

9

Favoriser le suivi médical des aidants (bilan périodique, accès à des consultations psychologiques…).

10

Bilan social annuel sur la situation des aidants en France.



Observatoire du 5ème Risque
Paul VERDIEL
Président de H2AD

H2AD est aujourd'hui, en France, le premier spécialiste de télémédecine intégré. Opérationnel 24h/24 en acquisition, traitement (télédiagnostic, télésurveillance, téléassistance) et hébergement de données médicales personnelles. Au travers de ses observatoires et projets de R&D innovants H2AD s'affirme comme un acteur incontournable du grand défi santé du XXIème siècle : la télémédecine pour tous.

Quelles sont vos activités ?

H2AD est née en 2004 à Grenoble par l’association d’équipes médicales et d’ingénieurs voulant développer des solutions accessibles à tous, à destination d’un public de personnes fragiles (personnes en perte d’autonomie temporaire ou définitive).

H2AD propose une offre complète de services de télésanté et télémédecine. Une équipe de médecins, soignants, ingénieurs et techniciens travaille en collaboration 24h/24 pour fournir le meilleur suivi médical sécurisé.

H2AD fournit une offre de :

Appels entrants et sortants

  • Appels entrants et sortants sur permanenciers - niveau 1

  • Appels entrants et sortants sur médecins - niveau 2

Santé et sécurité

  • Prévention primaire et secondaire / éducation thérapeutique

  • Suivi de l'observance et mesures de paramètres physiologiques

  • Téléassistance

  • Télésurveillance

  • Organisations de suivi et d'étude

Téléassistance médicalisée

  • Gestion d'équipements alarmes santé et sécurité

  • Gestion d'équipements domotiques santé et sécurité

Autres prestations

  • Formation usagers et personnels

  • Interconnexion de système d'information sur mesure

  • Acquisition, exploitation, traitement, archivage de données médicales personnelles

  • D2P® – Dossier Patient Participatif

  • Editions de cartes personnalisées

  • Entrées et sorties numériques tous supports


H2AD est aussi un hébergeur professionnel de données de santé, au service de tiers produisant des données de santé, dans le domaine médical et du maintien à domicile et susceptible de vouloir accéder à ces données 24h/24, 7j/7.

Enfin, H2AD offre des activités de télé monitoring permettant un suivi médical 24h/24. Ce service transfère automatiquement les données médicales recueillies au domicile sur sa plateforme ou celle du choix de ses clients.

Une plateforme de télésanté disponible 24h/24

  • Télésurveillance et télémonitoring

  • Suivi de l'observance et mesures de paramètres physiologiques

  • Les informations sont transmises à Twitoo®, qui les envoie à notre plate-forme de télésanté.

  • Données accessibles à qui de droit.


Twitoo® Network

Twitoo Network rassemble les différents composants de l’offre de télésurveillance et de télémonitoring Twitoo (acquisition, traitement, hébergement). Le réseau repose sur l’infrastructure H2AD, assurant traçabilité, sécurité et confidentialité.

Quel est votre intérêt pour l’Institut Silverlife ?

Notre intérêt est d’échanger avec des professionnels reconnus venant de différents horizons (public, privé, hôpitaux, services, assurances…) sur les problématiques liées à la prise en charge des personnes en perte d’autonomie.

Nous sommes également intéressés par les rencontres, au travers d’événements organisés par l’Institut (petits-déjeuners et commissions), de personnalités qualifiées sur les thématiques de la prise en charge des personnes âgées. Enfin, l’Institut représente pour nous un élément moteur dans le paysage français sur la réflexion, et nous l’espérons, la mise en place de solutions.

Quelles sont les perspectives pour la télésanté et la télémédecine en France ?

Je pense que la mise en place de ces solutions à une échelle productive, dépend de la levée de verrous politiques et organisationnels, qui doit être effectuée.

Cela suppose le lancement de solutions de régulation centralisées, le passage au forfait de la prise en charge des maladies chroniques, l’analyse qualité et coût des services rendus et la prise en charge par les organismes obligatoires et complémentaires de santé.

Il me semble qu’une fois ces verrous levés, la France sera en bonne place dans le concert mondial de la prise en charge de ses Aînés.

Plus d’informations sur : http://www.twitoo.org et www.h2ad.net




Aide familiale : la voie du voisinage ?
Par Atanase Périfan, Président de la Fédération Européenne des Solidarités de Proximité et Président de «Voisins solidaires »

La solitude vient d’être déclarée « grande cause nationale » par le Premier Ministre. La dépendance est le prochain grand chantier gouvernemental. Nous connaissons tous des personnes fragilisées par l’âge, la maladie ou la dépendance. La complexité de leur condition amène à une interrogation centrale touchant à l’aide familiale : l’accompagnement des personnes isolées ou malades saurait-il se résumer à la seule implication de la famille et de l’État ? L’un et l’autre seraient-ils les acteurs exclusifs d’une solidarité de proximité bien sentie à leur égard ?

Les termes même de la question pourront sans doute apparaître réducteurs. Ce sont pourtant ceux qui animent régulièrement les débats touchant aux rôles de l’aidant, à l’intervention de l’État et à leur nécessaire interaction. Étonnamment, la réflexion semble écarter d’emblée toute forme de soutien qui n’émanerait pas de l’un ou de l’autre. Un peu comme s’il fallait que l’aide familiale «coûte» à tous ceux qui en ont la charge et vis-à-vis desquels pèse in fine une «injonction à agir». Ainsi, à des degrés divers et sous des formes différenciées, la famille et l’État se retrouvent soumis à une obligation d’ordre similaire : obligation morale (pression de la famille, regard de la société…) ou juridique (risque pénal et contraintes…) pour le cercle familial, obligation républicaine (les devoirs du pays, le droit des citoyens…) ou même électorale (justification de l’impôt et du service public) pour ceux qui nous gouvernent. Les liens du sang contre ceux de la nation en quelque sorte.

Sur bien des aspects, ce raisonnement obligataire se rapproche immanquablement de ce que certains gourous du management appellent «la pression d’enjeu», soit une situation où l’objectif, toujours fixé par un Autre – chef, collègue, système, contexte, valeurs… – se doit d’être nécessairement atteint. En dépassant l’individu, sans toutefois le transcender, cette pression conduit pourtant régulièrement à l’échec. Devant l’obstacle obligé, les forces s’étiolent, les esprits se rabougrissent, les moyens finissent par manquer et chacun, désemparé, n’en finit alors plus de rejeter la charge sur les autres quand ce n’est pas la faute.

Qu’on le veuille ou non, la nature humaine et son agrégat collectif que constitue la nation sont d’abord éprises de plaisir plus que de devoir : elles réussissent assurément mieux lorsqu’elles tirent jouissance des actions qu’elles conduisent.

C’est tout le sens du programme «Voisins solidaires» : il propose un système où la «liberté d’agir» est la règle. Chacun y est appelé, alors que rien ne l’y oblige, à se comporter en voisin solidaire, faisant fi de l’anonymat de son environnement ou de ses pulsions égoïstes pour devenir en toute conscience disponible à l’autre.

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H2AD® a constitué, avec 6 autres entreprises et organisations, l'Association Française des Hébergeurs Agréés de Données de Santé à Caractère Personnel (AFHADS).

Rappelons qu'H2AD® figure parmi les tous premiers hébergeurs agréés dès 2010. L'Association se donne pour buts de promouvoir l'agrément auprès des usagers, des professionnels et établissements de santé, et de l'ensemble des acteurs de la e-santé. Elle représente les hébergeurs agréés auprès des instances législatives, administratives et normatives. Elle s'est dotée d'un logo dès le mois de janvier dernier. Elle compte aujourd'hui 12 membres et contribue aux réflexions de l'ASIP Santé sur l'évolution, prévue à terme, de la procédure d'hébergement.

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Séminaire international sur les stratégies de prévention, de repérage et de suivi de la fragilité des personnes âgées à domicile.

MADoPA (Centre Expert en Technologies et Services pour le Maintien en Autonomie à Domicile des Personnes Agées) organise le vendredi 10 juin 2011 à Paris un séminaire international sur les stratégies de prévention, de repérage et de suivi de la fragilité des personnes âgées à domicile.

En complément des débats financiers sur la dépendance, les travaux sur la fragilité et la vulnérabilité des personnes âgées ouvrent des perspectives innovantes et opérationnelles de prévention de la dépendance et de la perte d’autonomie. De multiples indicateurs et instruments de mesure de la fragilité et de la vulnérabilité sont susceptibles d’être déclinés en programmes d’action adaptés aux objectifs des institutions et aux besoins des personnes âgées.

D’un point de vue organisationnel, MADoPA est une association loi 1901 qui regroupe des acteurs de dimensions nationale et régionale, couvrant l’ensemble du système de prise en charge des personnes âgées à domicile. MADoPA est composé de 5 collèges d’acteurs :

  • Collège Recherche : Université de Technologie de Troyes, Institut de Myologie, CEA Leti, ESC Troyes

  • Collège Protection sociale et Santé : Fédération Nationale de la Mutualité Française, MACIF Mutualité, Mutualité de l’Aube, Malakoff Médéric, Centre des Arcades, CHU Montpellier, Réseau Gériatrique de Champagne Ardenne (RéGéCA)

  • Collège acteurs territoriaux : Conseil général de l’Aube, Technopole de l’Aube

  • Collège Industriel : EDF, Assistéo, AECRTS

  • Collège Usager : Coderpa de l’Aube


En termes d’activités, MADoPA intervient dans trois principaux domaines :

  1. la compréhension des processus de fragilisation des personnes âgées et l’identification des indicateurs pertinents de prévention, de repérage et de suivi de la fragilité

  2. l’évaluation des solutions de vigilance et d’accompagnement des personnes âgées fragiles à domicile

  3. la conception et le déploiement des solutions de vigilance et d’accompagnement des personnes âgées fragiles à domicile


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Tous les membres de l’Institut (à jour de leur cotisation) reçoivent chaque semaine une revue de presse des meilleurs articles ou contributions sur le 5ème risque.

>> Pour recevoir la revue de presse <<

Parallèlement à la revue de presse, l’Institut Silverlife diffuse à ses membres une veille politique et parlementaire sur le 5ème risque, la dépendance et le vieillissement qui passe en revue, tous les 15 jours, l’actualité des débats à l’Assemblée Nationale et au Sénat, les projets et propositions de loi déposés, les différentes commissions ou missions parlementaires qui travaillent sur ces sujets, les questions des divers parlementaires…

>> Pour recevoir (gratuitement) le dernier numéro de la veille parlementaire <<

 


Partenariat avec CARITAT



L’Institut Silverlife s’est associé depuis plusieurs années avec CARITAT organisme de formation spécialisé dans l’assurance et les techniques financières.

Au programme :

- un Colloque annuel sur l'assurance dépendance (3ème édition le 17 novembre pour participer ou    intervenir lors de ce colloque)
- un cycle de formation interentreprises
- des interventions en intra-entreprises (formations, missions d'accompagnement…)

Prochain module de la formation « Innovation en assurance dépendance » :

Module 3 : Les fondements techniques de la dépendance, le 8 juin 2011 
Animateur : Noëlle BOGUREAU, actuaire conseil, CAPS Actuariat

- Définition du risque à assurer et conditions contractuelles : dépendance totale ou partielle, sélection, franchises,          carences... 
- Typologie des produits et critères de choix 
- Éléments de tarification. Sensibilité 
- Les provisions à constituer. Principes de calcul 
- Comment assurer le pilotage technique et financier du risque dépendance 

>> Plus d’informations <<

 


Petit-déjeuner débat avec Jean AZEMA, Directeur Général de Groupama S.A.
Le vendredi 24 juin de 8h30 à 10h00 au Cercle Républicain - 5, avenue de l’Opéra - 75001 Paris

« Assurance dépendance : quelle place pour les assureurs »

Le vieillissement de la population a des conséquences sur l’ensemble de la protection sociale à commencer par la santé, ainsi que sur la prise en charge de la dépendance.

Quels sont les enjeux du débat sur la dépendance lancé par les Pouvoirs Publics ? Quel pourrait être le rôle des assureurs ? Comment garantir la bonne prise en charge de la dépendance au bon moment, au bon endroit et au bon coût ?

A toutes ces questions, Jean AZEMA, Directeur Général de GROUPAMA, tentera de répondre. D’autant que GROUPAMA, qui commercialise des contrats depuis 1998 figure parmi les pionniers de l’assurance dépendance en France. Avec 23% de part de marché en nombre de contrats et 16% en termes de chiffre d’affaires, il se situe à la première place des reformes en cours.

>> Télécharger le bulletin <<



Appel à participation

Vous souhaitez partager votre expérience dans la Newsletter avec l’ensemble de nos lecteurs ?

Contactez Virginie Tasso
webmaster@silverlife-institute.com

 

URGENT : l'Institut recherche

L’Institut recherche un stagiaire communication pour les mois de juin/juillet ou juillet septembre.

L’Institut recherche également un/des bénévoles pour la réalisation d’interviews.

Plus d'informations, cliquez ici ou contactez Virginie Tasso
webmaster@silverlife-institute.com

 


Calendrier Président / Délégué général

1er avril

Paris

Hervé HARDY PDG Groupe RESIDALYA

Etablissements spécialisés

4 avril

Paris

Pierre DENIS Président AIDANT Attitude

5ème risque

4 avril

Paris

Jérôme ARNAUD PDG DORO

Technologies

7 avril

Paris

Bruno DERVILLE DG SENIORIALES

Logement

7 avril

Paris

Jean-Yves MANO Adjoint au Maire Ville de Paris

Logement

7 avril

Paris

Anne-Sophie ROUSSELOT-PAILLEY CNAV, Christophe LE PAIH ANRESPA

Logement

11 avril

Paris

Marie-Béatrice LEVAUX Présidente FEPEM

Services à la personne

11 avril

Paris

Michel CHARTON Président Santé Pharma

Accès aux soins

12 avril

Paris

Jean-Claude MARIAN Président Groupe ORPEA

Etablissements spécialisés

13 avril

Paris

Dr André BRAGA DG MEDI24

Accès aux soins

13 avril

Paris

Père Bernard DEVERT Président HABITAT & HUMANISME

Logement

14 avril

Montpellier (36)

Congrès GEROSANTE

5ème risque

18 avril

Paris

Nicolas BOUZOU Economiste

Economie du vieillissement

19 avril

Nantes (44)

Jacques AUXIETTE Président conseil régional Pays de Loire, Pr Gilles BERRUT Président SFGG

Inauguration du Gérontopôle

Economie du vieillissement

20 avril

Paris

Jean-François TRIPODI DG Garantie Assistance

5ème risque

21 avril

Paris

Bernard SPITZ Président FFSA

CORA spécial dépendance

5ème risque

21 avril

Paris

Pr Jean de KERVASDOUE, CNAM

5ème risque

22 avril

Paris

Pierre HALLEY Président ANCRE

5ème risque

23 avril

Paris

Mohammed MALKI Conseiller Personnes Agées auprès de Mme Roselyne BACHELOT-NARQUIN

Economie du vieillissement

27 avril

Paris

Erik RANCE DG Caisse des Mines

Accès aux soins

29 avril

Bruxelles

Commission Européenne lancement année européenne du vieillissement actif

Economie du vieillissement



Calendrier des commissions et groupes de travail


Prochaines dates

Petit déjeuner presse

14 juin

Vieillissement actif

15 juin, 7 septembre, 19 octobre à 10h00

5ème risque et financement de la dépendance

24 juin de 8h30 à 10h00

Assemblée générale

7 juillet

Rencontre parlementaire

12 septembre


Adhérer à l’Institut en 3 étapes :


Pour adhérer en ligne, vous pouvez également télécharger le bulletin d'adhésion individuelle ou le bulletin d'adhésion institutionnelle.


4, rue du Cirque 75008 PARIS
M° Champs-Elysées Clémenceau ou Franklin Roosevelt
Parking public à proximité
Carte

Tel : +33 1 77 11 54 07

Centre de ressources et salles de réunion accessibles sur rendez-vous.

 

Lettre d’information de l’Institut SilverLife envoyée à 8096 abonnés
(centre de recherche sur l’économie du vieillissement, association loi 1901 à but non lucratif)
Directeur de publication : Gilles DUTHIL
Rédacteur en chef : Virginie TASSO
Ont participté : Bruno RIVALS

Réalisation : Ad tatum